Vingt-cinq, quarante et quarante-cinq pour cent enregistrés depuis le début de l’année (versus la même période en 2020), tels sont les niveaux d’augmentation des transferts financiers émanant respectivement des diasporas égyptiennes, tunisiennes et marocaines ! Des performances d’autant plus remarquables pour ces pays qui jusqu’en 2019, donc avant la pandémie, connaissaient plutôt un plafonnement structurel de leurs flux (vieillissement de la population diasporique, maturité des remboursements de crédits pris au pays d’origine…)…
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